Comptes Twitter : @jjencquel @AdmdVp Je ne suis ni médecin ni aide-soignante, mais j'ai été formée pour accompagner des personnes en fin de vie. Elle milite pour le droit de mourir dans la dignité, notamment au sein de l'ADMD-France. La sémillante septuagénaire claironne son désir d’en finir à sa guise avant que la vieillesse ne la naufrage. Un jeune président et, une nouvelle fois, une femme au ministère de la santé. Le média qui réinvite la mort dans nos vies. » Dans le portrait que nous lui avions consacré en août 2018, cette vieille dame très indigne, qui fut vice-présidente de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) pendant cinq ans, nous avait annoncé sa décision d’écrire un « livre militant », qui parlerait de sa vie et de son combat pour le droit de mourir dans la dignité, à n’importe quel âge et quel que soit son état de santé. Facebook Twitter. Même si elle ne souffre d’aucune pathologie la condamnant à court terme, son dossier médical est suffisamment étayé pour lui permettre, là-bas, de prendre la tangente et s’épargner la dépendance. Et Jacqueline Jencquel se … Jacqueline Jencquel a décidé de «partir» avec le soutien de l’association Lifecircle fondée par Erika Preisig. La doctoresse bâloise a échappé en 2019 à une condamnation pour homicide involontaire, à la suite d’un accompagnement au suicide jugé irrégulier. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. Avec Jacqueline Jencquel, la secrétaire générale de l’ADMD - si les grèves ne m’empêchent pas de décoller ! Jacqueline Jencquel a 75 ans. Finir en Ehpad, imposer à ses trois fils la gestion d’une conscience altérée…. C’est suffisant pour la plupart de ceux qui nous appellent. C’est ce qu’elle appelle un suicide de bilan. Voilà près de douze ans que j’accompagne des personnes en fin de vie pour l’ADMD en France. Cette rencontre se déroule à la librairie Gallimard, 15 boulevard Raspail dans le 7ème ardt de Paris. De nombreux journalistes sont à la fois juges et parties. Planifier le jour de sa mort: le choix de Jacqueline Jencquel, 74 ans, choque, irrémédiablement. (Photo Lucile Boiron pour Libération) ... que celle qui milita à l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité) se rendra. Jacqueline Jencquel and Brigitte Lahaie are both activists with Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), a French organisation calling for legalisation of euthanasia or assisted suicide. Il lui faut bien, dit-elle, fixer une date. It says people should be able to make a free, informed decision to end their own life. C’est l’ex-présidente de l’ADMD, l’Association pour le droit à mourir dans la dignité. Elle a décidé de recourir au suicide assisté d’ici juin 2020. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Quand elle estimera avoir fait le tour de sa drôle de vie, c’est en Suisse, pays où le «suicide assisté» est une pratique légale et encadrée, que celle qui milita à l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité) se rendra. Mais elle a annoncé son suicide assisté en janvier 2020 en Suisse, parce qu’elle ne peut l’obtenir en France. L’ADMD milite depuis des années pour une fin de vie plus digne. Un changement de Gouvernement. Elle a été mariée, a trois fils et plusieurs petits-enfants. Elle estime que toute personne lucide et capable de discernement devrait à 75 ans avoir le … Jacqueline Jencquel. Par Jacqueline Jencquel . Jacqueline Jencquel a 75 ans. Par Jacqueline Jencquel Le Dimanche 23 avril 2017 - 13:08 Italie. Par Julien Munoz Publié le 8 Avr 21 à 20:30 La Presse de la Manche Voir mon actu Suivre L’ADMD Jacqueline Jencquel naît le 28 octobre 1943 à Tien-Tsin, dans la Chine des concessions, d'un père Français, avocat, et d'une mère Russe, polyglotte, qui a fui l'URSS de Staline. Elle milite pour le droit de mourir dans la dignité, notamment au sein de l’ADMD France. Ce mardi 3 novembre, à 18h30, à l'initiative de Jacqueline Jencquel, déléguée ADMD des 7 et 16èmes ardt, est organisée une rencontre-dédicace de mon dernier livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? Bravo à l’ADMD pour ce stratagème diabolique…qui fait flop et les discrédite encore plus. Jacqueline Jencquel voulait voir un ultime printemps, mais pas seulement. Jacqueline Jencquel est secrétaire nationale en charge des relations internationales et de l’accompagnement à l’étranger. Jacqueline Jencquel, vice-présidente de l'ADMD : "Quand le médecin ne peut ni guérir, ni soulager, il peut délivrer." Jacqueline Jencquel, 74 ans, militante du lobby pro-euthanasie ADMD dont elle a été longtemps vice-présidente, est en bonne santé. Que nous aura apporté cette année 2017 qui se termine ? Elle estime que toute personne lucide et capable de discernement devrait à 75 ans avoir le droit de mourir avec une aide médicale. A 74 ans, Jacqueline Jencquel, Française résidente en Suisse, a fait le choix de mourir en 2020. L'année dernière, il s'agissait de l'«affaire Anne Bert». Jacqueline Jencquel, le 7 septembre. Jacqueline Jencquel Secrétaire Générale de l'ADMD. Ils se sentent rassurés lorsqu’ils savent qu’on pourra les aider le moment venu. Le débat ne devrait pas être un sujet de clivage entre la gauche et la droite. Résumé de l’intervention de Jacqueline Jencquel (ADMD) Un droit à conquérir, celui de choisir le moment et la manière de notre mort… comme il y a 40 ans, nous n’étions pas maîtresses de nos corps : pour avoir le droit à la contraception, il fallait être mariée (en tant que femme). Elle qui ne souffre d’aucune maladie incurable ou dégénérative souhaite bénéficier d’un suicide assisté en Suisse en janvier 2020. Jacqueline explique à Marianne avoir été piégée par Hugo Clément (puis se rétracte à nouveau) dans une interview devenue virale donnée en août 2018 : « (…) 2021, c’est dans quelques heures. L’ADMD (association pour le droit de mourir dans la dignité) de Loire-Atlantique organise une réunion d’information le 7 avril, à Nantes, en présence de Jacqueline Jencquel, secrétaire nationale de l’ADMD, en charge notamment de l’accompagnement de fins de vie à l’étranger.… Après des affaires médiatiques, l'Italie se penche sur la fin de vie et s'attire les foudres des religieux […] Partager. Ne pas se laisser enfermer dans un quatrième âge naufragé, terminer en beauté, pour reprendre le titre du livre qu’elle a publié cet été, c’est le projet de cette bobo parisienne de 76 ans qui bataille pour que la France révise sa copie sur la fin de vie. L'euthanasie est un acte humaniste et non médical. Jacqueline Jencquel a deux frères . C’est l’ex-présidente de l’ADMD, l’Association pour le droit à mourir dans la dignité.Aujourd’hui, elle milite pour l’IVV, l’interruption volontaire de vieillesse.Elle estime que toute personne lucide et capable de discernement devrait à 75 ans avoir le … L'ADMD met en scène régulièrement des cas particuliers. Car cette «Jacqueline», dont le «cas est unique», nous dit avec admiration le Nouvel Obs, n'est pas n'importe qui. Maintenant c'est l'affaire «Jacqueline Jencquel». 21 février 2012, 13:07. Beaucoup s’indignent de sa décision. -, je vais rencontrer aujourd’hui, à Zurich, les responsables de l’association suisse Dignitas qui aident, chaque année, nombre d’étrangers à mourir dans la dignité, alors que leur propre pays leur interdit ce droit élémentaire… Jacqueline Jencquel est née en Chine, de parents russes. (Photo Lucile Boiron pour Libération), Pour bien faire, il faudrait dérouler l’interview à l’envers, débuter par ce moment de flottement où, calée dans son canapé et adossée à ses questionnements, Jacqueline Jencquel évoque les ours en cage et la tristesse de leur regard. Très souvent, je ne fais qu’écouter et conseiller. Jacqueline Jencquel. La médiatisation volontaire de sa démarche interpelle d’autant plus. Aujourd’hui, elle milite pour l’IVV, l’interruption volontaire de vieillesse. Une nouvelle qu’elle a annoncé sur son blog et qui a fait beaucoup de bruit en France. Les conditions de la fin de vie ne sont pas bonnes en France et nous n'avons pas les moyens de mettre en place un système de soins palliatifs universel. Jacqueline Jencquel est née en 1943 à Tien-Tsin en Chine. Elle s'en irait volontairement en janvier 2020, annonçait en 2018 dans de nombreux médias une militante du droit à mourir. Jacqueline Jencquel a 75 ans. Je suis allée la rencontrer chez elle pour comprendre son geste. https://www.lanouvellerepublique.fr/niort/entre-7-000-et-11-000-hors-transport C’est l’ ex-présidente de l’ADMD, l’Association pour le droit à mourir dans la dignité. Dans ce cadre, elle a accompagné des dizaines de Français en Suisse pour leur permettre d’obtenir un suicide assisté. #Euthanasie. Tout le monde meurt. Polyglotte, elle a parcouru le monde, travaillé en tant que professeure et intégré des cultures différentes tout en gardant la sienne : russe et parisienne. "Je milite pour la liberté, pour le choix en #FindeVie." Suicide assisté : Jacqueline Jencquel explique son choix. Voir aussi : Suicide assisté : Jacqueline Jencquel explique son choix, En renseignant mon e-mail, j’accepte de recevoir toutes les deux semaines les derniers articles par courrier électronique et prend connaissance de la Politique de confidentialité. Jacqueline Jencquel, le 7 septembre. Aujourd’hui, elle milite pour l’IVV, l’interruption volontaire de vieillesse. Tweeter. La mort assistée, sourire aux lèvres 05h03 , le 7 septembre 2014, modifié à 12h12 , le 20 juin 2017 Jacqueline Jencquel, vice-présidente de l'#ADMD, sur CNEWS. «Je souhaitais être là pour mon amie, la doctoresse bâloise Erika Preisig, présidente de l’association d’aide au suicide Lifecircle, afin de la soutenir dans l’épreuve judiciaire qu’elle affrontait.