La rumeur du jour vif se disperse et s’enfuit. Salut, derniers beaux jours ! Ce site vous permettra de consulter de façon détaillée les crimes et délits enregistrés en France entre 2012 et 2019 par les services de Police Nationale et de Gendarmerie Nationale. — Pourquoi lamentes-tu ? Au niveau mondial le nombre total de cas est de 105 387 132, le nombre de guérisons est de 58 577 114, le nombre de décès est de 2 299 083. Des verts chemins qui vont là-bas, à l’horizon. Les vierges du foyer dont l’œil doux électrise. une aptitude à l’asthénie inscrite partout. Tout est blanc au cœur des bois : le vent érode les heures, les anges perdent leurs visages; comme une petite fille revenant des nues, je montre mon corps à la nuit. Je t’ai vu, n’est-ce pas? Les diverses beautés qui parent ta jeunesse ; Quand tu vas balayant l’air de ta jupe large. Toutes les herbes que tu désirerais. Et d’échanger enfin la branche d’olivier. Prête-moi ton grand bruit, ta grande allure si douce. Ça s’est infiltré peu à peu dans ton cerveau, il hurlait, ton chat, il ne cessait pas de hurler, et tu n’as plus voulu l’entendre. Dit l’astucieux lynx, chasser toujours ensemble... Je grimpe prestement, vous ne l’ignorez pas... Je me souviens d’une station wagon qui coupe la nuit, qui ouvre la nuit du nord comme un couteau de chasse, ma mère ma sœur son mari et ses enfants tous, Johnny B. Ma main caressera le sommeil de brume à ras de terre pour que s’incarnent, dans le brasier des hautes herbes et des marécages fumants. Je suis là présent un tremblement de terre. Mon insomnie a vu naître les clartés grises. au coin du feu. Comme inquiets de ces vêpres qui sonnent. De nombreuses victimes… Société Cameroun : plus de 600 millions FCFA pour l’Hôpital régional de Bafoussam Derniers chiffres du Coronavirus issus du CSSE 06/02/2021 (samedi 6 février 2021). est dans l’air aussi droite que la cime des blés. En plein vol, et cachant votre histoire en son... elle confondait dès lors le soui-manga et l’aigle, elle avait cru réinventer la roue, ma mère, je suis debout dans le soleil et je marche, je marche à la vie à la lutte à la victoire, me voici prêt à vivre désormais comme il convient, comme il convient à un pauvre nègre qui a beaucoup, souffert non pas désolé mais consolé non pas déserté. Libres comme la mer autour des sombres îles. Nous étions (hélas ! Plus qu’entr’aperçue au fond de la chambre. À mes pieds, la mer molle se froisse rythmique à l’arène, Le chant s’essore. Le coq égosillé chancelle comme un pitre. bois couronnés d’un reste de verdure ! Et sourdement touche l’herbe et le sable ; Dans l’eau du temps qui traverse les marbres. Les enfants courent partout. Ton glissement nocturne à travers l’Europe illuminée, Ô train de luxe ! Poursuit l’aube blottie au lit vert des roseaux. Tu as pris mes os froids entre tes mains, la ruelle était maintenant déserte. — Un cruel oiseleur, par glueuse cautelle. J’habite un espace où le froid triomphe de l’herbe, où la grisaille règne en lourdeur sur des fantômes d’arbres. Le cœur le plus secret aux lèvres vient mourir. passant, je lamente. Il va droit devant lui, en avant, en arrière ; Enluminés d’amour comme dans tous ces clichés. Depuis l’aube, ses bras, comme des bras de plainte, Se sont tendus et sont tombés ; et les voici, Il vous naît un poisson qui se met à tourner. J’ai appris l’âge des arbres dans la savane : Arbres nourriciers des bambins sans lendemain, Pourquoi donc tant de gens ont-ils le mal de mer, telle était la question qu’à moi-même posait, la vue âcre de ceux qui en chœur vomissaient, faisant route à vapeur vers la grande Angleterre, on se trouvait alors loin du cap d’Antifer, mais me trompé-je ici ? Des voitures encore chaudes dans les parkings, J’essaie de lire les messages qu’écrivent, les choses ordinaires d’un matin ordinaire, Le céleri coupé sur la table de la cuisine m’intrigue, avec ses feuilles en spirale dans le sens, préféré de la nature    qui pourtant n’a pas de montre, et bien évidemment n’est ni de gauche ni de droite. Des rimes. Un orgue au loin éclate en froides mélopées ; il y a des volcans qui ne sont là que pour le vent, il y a des volcans qui vivent en meutes et patrouillent, il y a des volcans dont la gueule émerge de temps en temps. Un bus de transport interurbain est entré en collision avec un camion et a pris feu tôt ce matin du 27 janvier. Pâle, elle cria : « Jean ! J’écoute ma voix baroque dans le miroir enflé de litanies sauvages. Il vient, tenant dans ses mains - sales, sales, sales. — Écoute le silence sous les colères flamboyantes, La voix de l’Afrique planant au-dessus de la rage des canons, La voix de ton cœur de ton sang, écoute-la sous le délire, Est-ce sa faute si Dieu lui a demandé les prémices de ses. J’abdique tout. Personne ne peut m’... Pour bien voir, fais taire en toi toute passion. Où la flamme va pouvoir être, à son désir. Le soleil est ma chair, le soleil est mon cœur. là là ! La mémoire s’écoule comme la noirceur de la ville où j’ai grandi, dans le nord de l’Ontario. qu’innommée, qu’ans, qu’os, que feu père. » du seuil de la chaumière. Est triste et faible et lourde et lasse, infiniment. Mazzie avait fermé les yeux,... semant sapins et sources sur la matière bleue. La mer quand elle a fait son lit sous la lune et les étoiles, et qu’elle veut sombrer tout à fait dans le sommeil ou dans, la mer quand les poissons ont trouvé une autre route, pour tirer la soie du cocon et gagner leur temps de paresse, la mer quand plus rien ne la retient d’en faire à sa tête, Dans les marais vivent des bêtes que d’aucuns trouvent, elles leur paraissent le comble de la hidosité, on dit qu’elles s’agitent de façon plus que désagréable, et qu’on n’a jamais vu de telles monstruosités, pauvres animaux des marais à l’existence jugée mépri-. La femme couverte de la fraîcheur de la mer. Signes des hommes, voici pour vous mes nuits. Ici une table, une étoile, la galaxie. les douleurs qu’on lui a infligées, sans sortilège. mais choisit en général le sens des aiguilles d’une... particulièrement développé chez les Reptiles. Pourchassent le torrent farouche des bisons. aux forêts de nuages et aux archipels flottants. Et en plaisir maint lourd tourment j’endure ; C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons. Municipales : 1000 à 9000 habitants pour le nuançage politique, est-ce que cela change quelque chose ? n’était-ce pas à Dieppe, que j’embarquai ce jour pour aller monoglotte. Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé. Tandis que les transatlantiques sifflent sur le canal ! Connaissant votre humeur je veux bien ma Sylvie. », sais-tu, ombre, que je t’aime Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches. Sur la terre où nous n’avons fait qu’aimer. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, du voyage dont je reviens je ne ramène ni souvenirs ni photographies, j’ai revécu la création de l’univers et l’évolution de toutes les espèces, et des branches poussaient de mes membres, Il existe pourtant des pommes et des oranges, Je ne connais pas tous les fruits par cœur, ni la chaleur bienfaisante des fruits sur un drap blanc, Oh Rimbaud de la bohème et du Cabaret Vert, Toutes les fleurs, ma chérie, j’aimerais t’offrir. Chevelure, à ses doigts si faibles évasive, il faut le dire ta dernière lettre elle se pesait en. je délire et je tangue au fatras de ma langue à roues cycloneuses. J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. t’avais moins le temps de m’interroger... Il fera longtemps clair ce soir, les jours allongent. J’ai bien réfléchi, l’année avant, dans ma chambre. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans. Je m’endormais,... Si j’avais un verre d’eau je le ferais geler et. Le paysage maintenant, le paysage, voilà. Le moulin tourne au fond du soir, très lentement. Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et qui peuvent beaucoup dessus ma liberté : Dans respirer m’a dit Goethe il y a deux grâces, l’air qu’on s’incorpore et celui qu’on lâche, la peine que j’ai moi c’est à rendre l’âme, l’âme que l’air m’a prêtée j’oublie d’expirer. assis sur la muraille en fleur de mes limites, je regarde sérieusement dans son moment donné, oh le cadeau de vent woups l’allure de l’éternité, couché même des fois quand il fait beau tout bas, dans la rocaille douce de ma solitudineuse finitude, j’écoute l’herbe pousser à travers l’humus de mes os, Un castor, bon enfant, un jour prêta l’oreille, Il s’agissait d’éteindre une haine bien vieille. dans notre cou, on crie les nouvelles du soir, on nous écorche. Poussaient leurs troncs noueux vers la voûte céleste. Les peines d’amour sont des mines à ciel ouvert. Il vous naît un oiseau dans la force de l’âge. Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. Au bois comme au champ tout est mûr. Mais brusquement les oiseaux réapparaissent. Vos yeux ont des appas que j’aime et que je prise. comme des âmes, comme des membres, voilà,... occupent le coin à l’entrée de l’ensemble résidentiel, un état d’âme peut aussi être en opposition, en général on préfère l’absence de contraste, Aujourd’hui le printemps s’est mêlé à l’hiver, rencontré l’hirondelle l’odeur de l’herbe, Lentement, sourdement, des vêpres sonnent. Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal. Leurs mains, leurs doigts, leur corps entier fumait de hâte. Es-tu le ciel au-dessus du mur ? Défiez-vous. Lisez les nouveautés et découvrez les poèmes courts et frappants de la section 25 vers et moins. mère qui veut tout et rien à la fois. Tous les oiseaux en chœur. c’est là que les jeunes reforment le cercle. elle fait partie d’une étoile si lointaine, leurs bras et leurs doigts comme une neuve symétrie, c’est la religion des saisons qui fait ça, on leur donne des noms mais chaque hiver a sa tempête. Nous remercions le Conseil des arts du Canada de son soutien. Médicaments : Détail des remboursements des médicaments en France entre 2012 et 2018, Statistique sur les vols de voitures en France et dans le monde, Popular Baby Names : Le site des prénoms en Anglais, Les élections européennes sont bel et bien un enjeu national. Ou je me vais résoudre à ne la souffrir plus. Le coeur de l’homme, je veux l’apprendre en russe, arabe, chinois. Je me réveille à quatre heures quarante du matin pour écrire ça. Flambeau de l’Univers, charmant Père du Jour. « Pour sceller l’amitié l’on pourrait, ce me semble. tu me comprendras !). Que le vent du matin vient glacer à mon front. En un brouillard léger flottent au crépuscule. De temps en temps la couleur du ciel s’assombrit et le ciel tombe dans la boîte, alors je ris doucement, et quand je ris, voyez comme j’ai des rides. Où l’espace bourgeonne, où le temps est fantôme. La fin du monde. Tant de pagayeurs qui n’arriveront jamais. Le duvet de ses flancs est pareil. d’avoir troublé mon chemin, la nuit à peine terminée les vannes refermées, pour un long temps ils dormaient côte à côte, on eût dit des yeux fatigués par leur veille, cette boule bleue que tu portais au coin des lèvres, nuit-fumée nuit des lilas-rafales et des seins-pendentifs, nuit trop cuite de nos villes barbeléennes, la nuit des bouteilles brisées des nuits sans amour. Je suis le corps, toi la meilleure part : Pour me sauver après viendrais trop tard. Ton ange a pris le bien et le mal que j’ai faits. Ici simplement la blessure. Très haut amour, s’il se peut que je meure, En quel passé votre temps, en quelle heure. Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges. Et puis voici mon cœur, qui ne bat que pour vous, Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches. Dont le flanc narguerait le boulet et la bombe. Ainsi que les espoirs naguères à mon cœur. Je ne sais plus lutter, j’attends le dernier coup, Le coup de grâce et de pitié que le sort daigne. Il y a des moteurs de raison qui s’échappent même si je ne veux rien savoir. Soudain le coup sourd au cœur, soudain le mot donné, soudain le souffle de l’Esprit, le rapt sec, soudain la... Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages. ni de quelle saison nous tirons ces jours, je crois qu’il fait de grands escaliers de bois. et l’angoissante musique. Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez ! brûle du noir et crépite en se refroidissant. — « Mon fils, d’où vient qu’en mon sein tu frissonnes. Elle était complètement partie, ils n’arrêtaient pas de la toucher, j’en étais écœurée; Jayne aussi je crois bien, et Gillian me regardait de temps à autre en secouant la tête, est-ce que ça va cesser, pour l’amour, Mazzie, est-ce que ça va finir. Un glas encor sanglote aux lointaines églises... La nue est envolée, et le vent, et le bruit. De rayons ; les moineaux alignés sur les... Ô jeunes gens ! Tandis que derrière les portes laquées, aux loquets de cuivre lourd. — Las ! Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue. Cependant que mon front, au Caucase pareil. Catalogue des publications Globe d’or et de feu, Centre de la Lumière ; Admirable Portrait de la Cause première ; Tu fais de la Nature et la Joye et l’Amour. mère de ce qui ne peut être materné. Nos fauteuils de velours râpé atteindront la cime des cieux, nous aurons même la foi. À ne pas manquer. Les garçons n’oubliaient pas d’apporter des entonnoirs. Dieu des ruptures de glace et des bas-fonds généreux. Ici la morphine l’évanouissement la morte. J’apprends à respirer sous l’eau, à jurer du beau temps, je fais mon âge et je l’entends gémir, chaque mois, de corvée de culotte et de jours enclos. L’enfant fou et révolté, l’enfant au bout de... les chevals sont des animals doux et calmes, quand ils vont contents de se bien chevaucher, un petit cheval vient pour l’autre galopade, donnante et trotte en la neige de tous les sens, comme les dames quand elles lâchaient tout, pour chasser le chanteur et le surprendre. au bord du fleuve où bouge un arbre à peine vert, après avoir mangé en hâte ; aurai-je même. Qui vas surtout la nuit, pour que la poudrerie. », Perdue la même voix de couteaux qui appelle, les veines se séparent pendant le sommeil. Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu. Quand le soleil, vers d’autres cieux, a pris son vol. Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? que d’amours splendides j’ai rêvées ! Je te parle de feu, de brûler nos peaux, l... Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! C’est pour avaler, c’est pour la dent creuse. Modulent leur prélude à ma croisée ouverte. parfois tout est si clair que nous en oublions les ans. Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Fleurs du monde vivant. Ainsi, comment revoir la chose. Loin du temps, de l’espace, un homme est égaré. Découvrez tous nos produits. Evolutions des sociétés ces dernières années Ci-dessous, l'évolution par an (depuis 2012) des créations et suppressions d'entreprises en France, par mois avec des courbes en moyenne mobile de 12 mois afin de voir l'évolution et les tendances, idem par semaine avec des moyennes mobiles sur 4 semaines. Leur regard est intense et leur bouche attentive ; Il semble qu’ils aient vu les jardins de la mort. Ici m’arrive ce que l’on peut attendre. Et, dans un remuement de feuillage et d’oiseaux. — D’ailleurs inexistant. Tu fais l’effet d’un beau vaisseau qui prend le large. Pourquoi, pourquoi? Il est 22 h 37. Cent rouges cavaliers, sur les mustangs sauvages. Mes phrases fonctionnent encore, même si elles sonnent dix-huit cent soixante quelque. elle nourrissait la tombe de fleurs-soleils, elle s’arrangeait pour que la maison marche vers la tombe, Je m’enfoncerai dans les trous de la plaine, dans la tourbe où s’encaquent les errances effrayées des bisons. La mer jusqu’à la passe est pareille à tes yeux de sable et d’algues, Jusqu’à la masse profonde du large, où fleurissent tous les miracles. Le cygne chasse l’onde avec ses larges palmes, Et glisse. Cameroun : de nombreux morts dans un accident de la circulation sur la falaise de Dschang Publié le 27.01.2021. Je vous le dis, mon Père, ce n’est pas le ciel avec ses cris orphelins qui fera de ma vie un mirador : je ne suis ni une rivière ni une ombre, mais un os de peur, à enfouir sous la mer. Sur un ciel de tristesse et de mélancolie. les plaisantes dames qui portent l’amour... Je coupe au couteau les coins de ma bouche, je suis tout sourire. Le noyau vire au spin des quarks dans sa rotonde ; L’électron vole autour et, moqueur ou poltron, je vais te pointer tous les endroits où j’aurais voulu être du temps, ça fera des tracés, une carte, notre Lonely Planet personnel. Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Nous sommes les pêcheurs de lune ; Le tremblement de terre a maudit nos nuits sur la lagune. Ici la blessure en même temps que la joie. Pour la sonorité du coquelicot. J’aime à revoir encor, pour la dernière fois, le risque peut bien en exciter d'autres que moi. Je tourne autour des soleils jusqu’à ce... Je passais près du feu dans la salle vide, Et je vis qu’il brûlait encore, et qu’il était même, Entre les forces de la cendre, de la braise. Les éclairs se déversaient dans mon verre, je les buvais sans œsophage. Le grand livre de la couture pour bébé : 50 modèles d'accessoires et de vêtements, de la naissance à 3 ans Date de sortie: October 5, 2018 Éditeur: Mango Editions Je me souviens de deux promeneurs, c’est ça. je pouvais enfin toucher aux arbres à papillons. La plume d’aigle au crâne, et de la face au torse, Striés de vermillon, arc au poing et carquois. On dirait des morts vivants dans la fraîcheur de l’herbe. Je resterai avec vous jusqu’à l’heure émouvante, où votre cœur sera devenu un continent glacé. Autour de la maison qui secoue dans le noir. Vous êtes bien heureux d’avoir deux mains. Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Le vent contre ma vitre, où cette aurore luit. Et nous, les os, devenons cendre et poudre. Le bruit que fait Pina Bausch quand elle danse est le bruit d’une bouteille vide, une bouteille qui fend l’air, lancée avec force et retenue avec une force plus grande encore, une bouteille qui remue un peu mais qui ne bouge pas, qui reste dans la main, qui reste vide dans la main ouverte, c’est le bruit d’une scène trop haute ou d’une voix trop basse, d’une taille qui ne convient pas, d’un... C’etait en juin, la chaleur était grande... L’insecte ailé brillait des plus vives couleurs ; L’azur, le pourpre et l’or éclataient sur ses ailes ; Jeune, beau, petit-maître, il court de fleurs en fleurs. comme s’il fût possible de l’inventer ou de le... dans l’odeur de résine chauffée par le soleil, et la marche élastique sur les aiguilles de pin, des truites vives     dans le canoë qui sentait le vernis), Lasse, ayant bu l’azur, de filer la câline. Je suis un pâle enfant du vieux Paris, et j’ai. pour écrire des poèmes dans lesquels les... Dieu sait que je les aurai voulus autres —, L’ange qui marche obstinément derrière toi. Vous pouvez les découvrir à travers les filtres ci-dessous, ou encore avec la Roulette poétique ou avec l’option Au hasard.Lisez les nouveautés et découvrez les poèmes courts et frappants de la section 25 vers et moins. Houles d’herbes qui vont et n’ont pas d’horizons. J’ai rêvé d’un grand château dans la plaine. Voici qu’un jardin bouge, où la poule saccage. mon geste à me munir aux portes du miroir, creuser mon cœur au feu pour éclater en moi, ta chevelure et l’urne odeur de chlorophylle, et l’aine de l’automne où se glisse ma mort, Je me réveille au son d'une pelle qui gratte la, Je me réveille au son de cloches qui sonnent contre, Je me réveille au son des voitures qui se glissent, Je me réveille au son des camions qui charrient le. Assener à ceux-là qui vont mourir debout. Bodleian Libraries. Je porte la couverture de laine sur laquelle on regarde les feux. Pleurez, doux alcyons ! Dans l’eau du temps qui coule à petit bruit. Ô le beau soir de mai ! De vers, de billets doux, de procès, de romances. On marche au beat des gyrophares. J’ai déposé trois baisers sur une carcasse d’auto. Cela fait des années que je ne calcule plus, et que mon ombre m’accompagne dans la nuit, alors je me ressemble comme deux gouttes d’homme, la Terre est plus légère que la sphère des géomètres. à force de veiller la naissance de l’aube, Un saxophone joue dans ma tête un air ancien. Car c’est, chez eux, une aventure assez commune. fille faite de fragments. vous êtes mariés, êtes allés aux pommes... sans pour autant qu’il soit un phénomène, Qui m’a dit et après qu’importe allons signe. Mon âme en vain cherche le fil de sa mémoire... pour nous calmer nous mettre à l'abri des épidémies de médecins drogués dur et des raz-de-marée nous allons ... Mais dans ses cauchemars les morts se cachent, La poussière de l’heure et la cendre du jour. Et l’on voit s’effacer les clochers d’alentour. Chaque début de nuit ranime ta présence : D’une aile inquiète et folle vole sur la mer. The Bodleian Libraries at the University of Oxford is the largest university library system in the United Kingdom. En silence, ayant apporté mais sans qu’encore, le son humide d’autos qui passent tout près, de l’autre côté du mur des bruits inquiétants, des siècles et des siècles coulent dans mes veines, les prostituées s’installent au coin de la rue, no matter if not bruised or spiked with stubble. le lac gruge un peu plus le ciment les gencives... dans l’asphalte craqué des rues de Saint-Boniface. contre plans et ratés je m’efface oh m’enfarce. Nous nous faisons payer grassement nos aveux, N’apprenons qu’à mourir à nous-mêmes, inconcevablement abrupte ; entièrement faite, de ce récit qui prend la forme de la misère. Et, ces soirs-là, je vais tendre comme une femme. aux vêtements comme des guitares et des voix de cuir. N’écris pas. Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Comme le soir tombait, l’homme sombre arriva. Et, par terre, un hareng saur - sec, sec, sec. Pour le cri du coq à l’aube. Après le grand silence civil de maints jours tout fumant de rumeurs et de fumées. Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. Sa grande aile l’entraîne ainsi qu’un lent navire. ni flammes de dragons ni fureur de guerre, le ciel fut toujours calme en ces contrées, jusqu’à m’en écouler le bleu calme de l’iris, je lui demande d’être disciple de ses yeux secs et brillants, elle me fait promettre de jeûner, de laisser mon ventre creux, de percer au nombril un trou vers le ciel, J’écris contre le vent majeur et n’en déplaise, À ceux-là qui ne sont que des voiles gonflées, Plus fort souffle ce vent et plus rouge est la braise, L’histoire et mon amour ont la même foulée, J’écris contre le vent majeur et que m’importe, Ceux qui ne lisent pas dans la blondeur des blés, ouvrant chaque fenêtre je fais le tour de la maison, laissant courir la lumière sur les meubles, le miel des souvenirs se répand dans mon être. Je me vois venir, tout simplement, sans présenter aucune particulière... tu descends des bières dans un bar de la rue, tu acceptes les services d’une prostituée. l’année à peine a fini sa carrière. Dieu dans les yeux d’un chien fou, dans la gueule... des statuettes victoriennes, des marguerites, une maison orange et bleue, des serviettes roses sur le balcon, un homme aux cheveux blancs à l'autre bout du paysage, tandis que je rentre à la maison Paix et Amour, des enfants jouent dans les flaques d’eau. Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course. Maria a pressé le citron vert sur le poisson grillé, Elle a ri quand Vior a mangé les crevettes, Les yeux     ou les pattes     les antennes, peut-être, J’écris comme on consulte un album de photos, une photographie, c’est l’existence au plus-que-parfait du subjonctif, à l’imparfait du subversif, du disjonctif, comme l’enfant de la photo en couleur essaie de survenir. J’ai lu qu’ils s’enivraient de vin et de la lune, Et leurs vers se balancent comme de longs bambous. l’ombre longue de ma main glissant sur le feuillet. Et qu’il y en a un qui est mort de la lune ; Et les Chinois ne disent pas qu’il était fou. Devaient la reconduire au seuil de son amant. Je vis, je meurs, je me brûle et me noie. et suis épouvanté par mon aspect étrange. Le cœur du ciel, mon cœur saignant qui vous fait vivre, et puis t’aimes pas les mots tu les connais pas souvent tu, sais pas ce qu’ils veulent dire y’a tout un genre de mots, que tu veux pas entendre ou dire les mots à trois syllabes, tu laisses tomber tu veux même pas savoir ce que tu. Tu es capable de tuer, même un être que tu aimes, on décide parfois de tuer ce qu’on aime. Ici sur le... Je ne suis plus qu’un peu de chair qui souffre et saigne. Vois-tu, je sais que tu m’attends. Quartiers de Reconquête Républicaine (Carte de France détaillée) septembre 23, 2020; Top des prénoms en France (2020) septembre 22, 2020; Sites de … Il est d’étranges soirs, où les fleurs ont une âme, Où sur la vague lente et lourde d’un soupir. Les enfants entrent et sortent de la nuit. Sur soi soudé par le proton et le neutron. ô vous, oiseaux sacrés. À des neiges d’avril qui croulent au soleil; Mais, ferme et d’un blanc mat, vibrant sous le zéphire. Répandent leurs parfums et semblent les étendre ; Ma femme à la taille de loutre entre les dents du tigre, Ma femme à la bouche de cocarde et de bouquet d’étoiles de dernière grandeur, Aux dents d’empreintes de souris blanche sur la terre blanche. Si l’on m’avait demandé : qu’est-ce? Je me taisais, attentive aux brasiers, aux météores et aux titans de haine. Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie, le nez qui renifle déjà du côté noir de Dieu. Gens de passage, dans cette ville, on pourra juste un peu s’asseoir. ma beauté gun qui shine retourné contre ma tempe... Toujours un visage de femmes soldera mes dettes. Ils ont oublié les violeurs, les chauffards, les seringues et les baffes, oublié les coups d’gun... Ce sont des mains habituées à elles-mêmes, Le commun des mortels ne les a pas serrées, À tout ce qui n’est pas bêtement une proie, car je suis préoccupé de la tenue de la langue. Croyant par de... aux talons gercés dans la boue de l’hiver, D’une joie à moi que je ne puis pas prendre, J’entends mon pas en joie qui marche à côté de moi, Mais je ne puis changer de place sur le trottoir, Je ne puis pas mettre mes pieds dans ces pas-là, ma patrie d’haleine dans la touffe des vents, j’ai de toi la difficile et poignante présence, avec une large blessure d’espace au front, dans une vivante agonie de roseaux au visage, je parle avec les mots noueux de nos endurances, C’est que se donne à moi quelque nouvelle sente.